Lever en pleine forme après une bonne nuit. L’omelette à disparu ! Départ à nouveau dans la brume (très fréquente en cette saison le long de la côte). La route est plate, le vent nul et donc c'est très roulant.
A partir d'ici nous longeons de très près l'océan bordé d'une falaise de 40 mètres.
Les chameaux broutent les rares touffent d'alpha sur le plateau rocailleux.
Passage de l'oued Chbika quasi à sec mais qui s'offre un estuaire digne d'un grand fleuve. La descente est très pentue, la remontée également !
Autre passge d'oued
La côte est très poissonneuse et de nombreuses cabanes de pêcheurs s'accrochent à la falaise. Nous en apercevrons jusqu'à la frontière de Mauritanie. Souvent des meutes de chiens rodent alentour et ils n'apprécient guère notre passage. Il faut ressortir les cravaches !
La falaise qui borde l'océan.
Faute de camping : nuit à l'hôtel "Paris-Dakar" à Akfhennir. Nous proposons à l'hotelier de renommer son établissement "Breizh-Dakar". Mais c'est pas gagné !
Rencontre avec un couple de français qui vit ici une bonne partie de l’année, pratiquant la pêche et gérant des appartements. Drôle de vie dans ce trou perdu sans aucun charme.